Masterclass en Anglais

L’Ecole Christian Vabret organise une masterclass en anglais du 29 juin au 7 aout 2020 à Aurillac (15). Au cours de ces semaines de formation seront abordés : les produits de « base » de la boulangerie, de la viennoiserie, de la pâtisserie ou encore du snacking.

Pour retrouver le programme ou vous inscrire : rendez-vous sur le site de l’école.

Finale Centre Ile de France

Le 5 Mars 2020 le Lycée Guillaume Tirel de Paris accueillait la finale régionale présidée par Benoit Couvrand.

C’est Zachary LEBEL du CFA Médéric de paris qui a remporté la finale « Juniors » avec son dessert « Ma Normandie » tandis que chez les professionnels c’est Anthony CHENOZ du restaurant Lucas Carton Paris qui remporte le titre avec son dessert La Pomme de Pin. Tous deux tenteront de décrocher le titre de Champion de France lors de la finale qui aura lieu à Rouen (76) les 7 et 8 avril prochains.

Une étude à découvrir…

Quelles options stratégiques pour les professionnels de la BVP ?

Une très intéressante étude réalisée par Céline Ansart-Le Run pour Unigrains, évoque les axes stratégiques à privilégier pour les industriels de la BVP (Boulangerie-Viennoiserie-Pâtisserie). Ainsi, pour répondre aux évolutions du marché mondial de la BVP (santé, bien-être, produits plus naturels, praticien, goût, etc.), trois principales voies sont empruntées par les fabricants industriels de produits de panification, ces dernières pouvant être menées de front. Selon Unigrains, tout d’abord, la voie du développement interne nécessite de repenser l’ensemble de la chaîne de valeur. Des investissements sont nécessaires à chaque étape du process. Le deuxième axe est celui de l’acquisition d’entreprise disposant du savoir-faire recherché. Cette stratégie permet de pénétrer rapidement un nouveau marché, mais est plus risquée, l’intégration pouvant être complexe et le prix élevé. C’est ce qu’a fait le leader mondial, le Mexicain Grupo Bimbo, qui a fait l’acquisition de Stonemill Slow Craft, fabricant canadien de pain à fermentation longue ou encore de la société américaine Bays, spécialisée dans les English muffins. La troisième stratégie est celle du partenariat. C’est la voie la plus novatrice, les entreprises privilégiant davantage une approche individualiste et dans une logique de rapport de force avec leurs protagonistes, que dans celle du partage et de la démarche collective dans un processus gagnant-gagnant. Des partenariats avec des acteurs de l’amont (matières-premières), avec ses fournisseurs d’ingrédients et équipementiers, ou avec des start-up, des universités ou des centres de recherche public-privé. L’exemple le plus frappant est celui de Bridor, qui a lancé sa baguette “La Mie Biote”, un pain riche en fibres aux effets bénéfiques sur le microbiotique et la teneur en cholestérol, fruit d’un partenariat avec l’Institut National de recherche Agronomique et Environnementale (INRAE) et le Centre de Recherche en Nutrition Humaine (CRNH) de Rhône-Alpes. Cette étude d’Unigrains réalisée en janvier 2020 intitulée : « Le marché du pain : Tendances de consommation et dynamique des acteurs–Focus sur le Clean Label », est disponible en accès restreint sur le site www.unigrains.fr